Jeanne HOEFFLINGER

Souvenir de papa et maman

Tu as toujours été une oreille attentive,
Une écoute de chaque instant.
Une confidente bienveillante,
Ma plus douce infirmière !
Ma meilleure cuisinière !
Un soutien permanent ...
Une formidable maman.
Dans mon coeur aimant tu restes la meilleure des mamans.
Merci pour ton amour de velour, tout simplement ; il a été ma plus belle arme pour me construire.
Ma reconnaissance est infinie et éternelle.
Merci pour ce beau sacrifice maternel.
De toutes les mères tu es la plus belle !
Tendresse inégalable à ma douce mère.
Je t’aime et tu restes dans mon coeur
Ce n’est qu’un au revoir ma tite maman.

Michelle

Bon voyage mémé . 💕💕💕

Tendre Jeannine. Ton sourire et ta bonne humeur resteront à jamais dans notre cœur. Reposes en paix auprès de ton Maurice. On t’aime

Je garde un excellent souvenir des moments partagés avec Jeanne, nos parties de dominos, et de recettes aux parfums de la Réunion ainsi que les rencontres avec Caroline et en compagnie d'Edwige.
Caroline et moi même nous présentons toutes nos condoléances à la famille.

Mariette et Caroline

Mamie,
32 ans que tu étais à mes côtés.
Tu m’as vu naître, grandir et devenir médecin, devenir papa.
Ta gentillesse et ta douceur n’avaient aucun égal. Ta cuisine, un régal.
Je me souviens encore, enfant, lorsque je t’accompagnais au marché de Saint Denis. Nous passions devant les étales d’épices et de fruits, achetions quelques légumes avant de se diriger vers la boucherie où tu achetais tes légendaires biftecks, ma madeleine à moi.
Puis on remontait en taxi, l’un à côté de l’autre, fiers de notre butin et pressés de manger ces trésors, accompagnés de macaronis au beurre.
Je me souviens des après-midis, ou tu préparais ton marbré, que nous dégustions en jouant à la belote ou parfois, aux dominos ou au mille bornes. Puis tu cuisinais, ou tu faisais un peu de couture, pendant que Papi me racontait « la guerre » puis s’endormait devant la chance aux chansons.
Je l’observais dormir.
Puis venait le soir, ou nous mangions des breds, puis je me couchais, bercé par le cliquetis du coucou, après une partie de belote endiablée.
Je donnerais beaucoup pour revivre l’espace d’un instant, le bonheur simple que la vie à tes côtes procurait.
Tu as pu partager ta douceur avec mes enfants. Je suis fier qu’ils aient pu te rencontrer.
Les parents nous élèvent, les grands parents nous éveillent.
J’ai du mal à contenir mes larmes quand j’écris ces quelques lignes. Plus les années passent, plus on grandit et plus le chagrin est grand.
Alors simplement, merci.
Merci d’avoir été là grand mère que l’on rêve tous d’avoir.
Si le paradis existe, alors il ne peut être que meilleur avec toi.
Tu vas me manquer, beaucoup. Mais ton souvenir sera impérissable. Tu as marqué ma vie à jamais.

Je t’aime mamie.

Partez en paix Jeanne avec mon tendre souvenir.